Couronne dentaire : plusieurs modes de pose
La couronne dentaire est fabriquée en métal ou en porcelaine. Montée sur implant, intégrée à un bridge, ou directement posée sur un reste de dent, elle est destinée à remplacer une dent absente ou profondément délabrée.
Couronne montée sur implant
Lorsque la couronne est montée sur un implant dentaire, une première intervention de chirurgie dentaire a lieu pour poser l’implant dans la mâchoire du patient. Courante, cette opération n’en demeure pas moins invasive. Si la couronne n’est pas posée dans le même temps, il faudra compter plusieurs mois de cicatrisation avant de pouvoir la poser sur l'implant.
L'option de l'implant, onéreuse et non remboursée, présente toutefois l’intérêt d’une grande stabilité dans le temps et au cours de la mastication.
Couronne intégrée à un bridge
Le bridge est une succession de couronnes collées les unes aux autres. Ces couronnes sont posées sur la gencive édentée, qui est légèrement creusée. Les deux couronnes situées aux deux extrémités du bridge sont posées sur les dents piliers qui servent de support d’ancrage. Elles sont sacrifiées pour pouvoir jouer ce rôle (taille, dévitalisation, etc).
Pour éviter de sacrifier ces dents, le patient peut opter pour un bridge collé (ou bridge adhésif). Dans ce cas, des ailettes métalliques accrochées à la couronne sont collées sur la partie non visible des dents voisines.
Couronne posée sur une dent
Lorsque la dent existe encore mais qu’elle est trop abîmée pour être reconstituée à l’aide d’un onlay, le dentiste la nettoie, et pose sur elle une couronne.
La couronne peut être fabriquée en métal ou en matériau céramique. La première est la moins onéreuse. Elle coûte actuellement quelques centaines d’euros et elle est partiellement remboursée par l’assurance maladie. La seconde est beaucoup plus chère, et non remboursée. Il existe un type de couronnes intermédiaire, la couronne céramo-métallique.
A partir de 2020, cette dernière sera remboursée à 100% lorsqu’elle sera posée sur les dents visibles. Toutes les couronnes métalliques seront également intégralement prises en charge. Seules les couronnes entièrement céramiques resteront à la charge du patient.
Couronne montée sur implant
Lorsque la couronne est montée sur un implant dentaire, une première intervention de chirurgie dentaire a lieu pour poser l’implant dans la mâchoire du patient. Courante, cette opération n’en demeure pas moins invasive. Si la couronne n’est pas posée dans le même temps, il faudra compter plusieurs mois de cicatrisation avant de pouvoir la poser sur l'implant.
L'option de l'implant, onéreuse et non remboursée, présente toutefois l’intérêt d’une grande stabilité dans le temps et au cours de la mastication.
Couronne intégrée à un bridge
Le bridge est une succession de couronnes collées les unes aux autres. Ces couronnes sont posées sur la gencive édentée, qui est légèrement creusée. Les deux couronnes situées aux deux extrémités du bridge sont posées sur les dents piliers qui servent de support d’ancrage. Elles sont sacrifiées pour pouvoir jouer ce rôle (taille, dévitalisation, etc).
Pour éviter de sacrifier ces dents, le patient peut opter pour un bridge collé (ou bridge adhésif). Dans ce cas, des ailettes métalliques accrochées à la couronne sont collées sur la partie non visible des dents voisines.
Couronne posée sur une dent
Lorsque la dent existe encore mais qu’elle est trop abîmée pour être reconstituée à l’aide d’un onlay, le dentiste la nettoie, et pose sur elle une couronne.
La couronne peut être fabriquée en métal ou en matériau céramique. La première est la moins onéreuse. Elle coûte actuellement quelques centaines d’euros et elle est partiellement remboursée par l’assurance maladie. La seconde est beaucoup plus chère, et non remboursée. Il existe un type de couronnes intermédiaire, la couronne céramo-métallique.
A partir de 2020, cette dernière sera remboursée à 100% lorsqu’elle sera posée sur les dents visibles. Toutes les couronnes métalliques seront également intégralement prises en charge. Seules les couronnes entièrement céramiques resteront à la charge du patient.